Step 23 : museum party
Bon, finalement, l’histoire des musées gratuits tous les jeudi, c’était de l’arnaque. Ce sont certains-créneaux-minuscules-et-pas-compatibles-avec-mon-emploi-du-temps qui sont gratuits ces jours-là. MAIS BON. Aventurière un jour, aventurière toujours. Nous voilà partis, Jessica, Laurie et mes humbles moi-mêmes (Enchantés.) pour le Canadian Museum of Nature. Le musée de la guerre donc. (Hein ?)
Direction O’Connor Street, que je connaissais déjà suite à mon agréable séjour à l’hôtel lors de mon arrivée à Ottawa. Sauf qu’à cause de la tempête de neige de l’époque, je n’avais pas remarqué… ça.

Pourtant, ils ont été prévenants, ils ont même mis un panneau. Ca surprend, les mammouths. (Verbatim inside)

Et j’avais pas remarqué le musée en question non plus. C’est plutôt fat, comme building.

Brigitte Bardot inside. Attitude plutôt cavalière. Sinon, ça va les blagounettes Carambar ?
En s’approchant de l’entrée, on peut distinguer… un « poisson gélatineux ». Ou jellyfish, pour les intimes. D’ailleurs les méduses ne sont pas des poissons. Toujours est-il que celle-ci n’est pas très discrète. Niveau survie, c’est pas fou. Encore que, faudrait qu’il existe une tortue assez grande pour la menacer. Du coup, niveau survie, c’est plutôt fou. Même si, dans un aquarium, on risque pas grand chose. Pussy jelly-fish. Tu peux rentrer dans cet intense débat si tu veux : Médusa survivra-t-elle aux tortues géantes ? Si oui, qui de la méduse ou de la tortue est apparue en premier ? Pourquoi l’univers ? Pourquoi ? Quoi ? (Message sponsorisé par les joyeux philosophes de la tartinequitombetoujoursducôtédubeurre) (Beaucoup de sponsors dans ce blog) (La célébrité, que voulez-vous) (C’est bon, j’ai fini).
C’est l’histoire d’un concombre de mer et d’une dorade…
Un peu de sérieux, nom d’un petit mollusque pas cuit. Avez-vous déjà vu le Museum d’Histoires Naturelles de Paris ? Ben c’est le même principe. Certes, en moins grand, mais ça reste très (…) très complet, sur 5 étages + une exposition thématique temporaire. On était des gamines dans le Disneyland de la culture. J’ai notamment remarqué l’importance de l’intéraction mise en place par le musée : il y a, dans chaque section, des petits jeux d’apprentissage/assimilation pour petits et grands, visuellement attractifs. Bon, en ce qui concerne le contenu de ces animations, ils prennent les enfants (et les autres ? é.è) pour des belettes intellectuellement anémiées, mais sinon c’est chouette. (Encore une fois tu peux cliquer pour agrandir la chôôôse ou survoler pour avoir une légende aussi croustillante qu’une biscotte recouverte de BEURRE SALE. Salé hein, pas sale. Pff.)

Avant, je voulais être archéologues, pour passer mon temps avec les dinosaures (même en kits). Avant, je voulais être ornithologue, pour observer les oiseaux et la nature à satiété (les jumelles corrigent la myopie, he toc, epic win). Avant, je voulais être photographe, pour montrer au monde ce que l’on regarde sans voir. Avant, je voulais être soigneuse d’animaux sauvages, parce qu’ils sont plus dignes que les hommes (et les femmes, hein ! J’suis pour l’égalité dans la médiocrité).
« Il y a du bon en ce monde, M’sieur Frodon, et il faut se battre pour cela ».
Rire sans se forcer, sans rire jaune, s’émerveiller, partager, être bien avec des gens biens, aimer en connaissant à peine. Waw. Ce n’est pas un scénario de Walt Disney ou un poème de Marc Levy. Ce n’est pas tordant comme une blague Carambar. Mais c’est bon comme un Walt Disney, comme un Carambar, comme un poème de… nan, faut pas déconner.































