L’évolution selon Dorwin

Mon avant-dernière vadrouille weekeniale (Chère Académie Français, je vous suggère l’ajout de l’adjectif « weekeniale » au dictionnaire, faute de quoi je l’utiliserai quand même. Cordialement.) autour de Montréal m’a conduite, cette fois-ci, à un peu moins de 2h au Nord.

What follows integration ? Desintegration

Je suis tombée ce matin sur cet excellent article du blog ValizStoriz, parlant du difficile retour en France après avoir passé plusieurs mois ou années à l’étranger. Ses mots sont justes. Ils font du mal et du bien en même temps.

SPA possible

En revenant du Spa Le Scandinave, j’ai fait face à l’indignation de mes collègues de CDC : un VRAI spa est en extérieur, et c’est tout. Bon. Certes.

Oh my god… oh Magog !

Après notre escapade de la veille dans la région d’Oka, j’ai décidé de repartir le lendemain de mon côté, pour une grande vadrouille dans l’Est. Ca a d’ailleurs été l’occasion pour moi de traverser le centre-ville pour rejoindre l’autoroute 10, ce que je redoutais un peu. Autrement dit, c’était mon dernier petit challenge automobile personnel.

Oka ? Ok !

La semaine dernière, Cathy et moi avons décidé d’aller batifoler dans la région des Laurentides (oui, c’est vraiment une chouette zone). Mais pour quoi faire, Jean-Louis ? Retiens tes chevaux, comme on dit en anglais, je vais t’expliquer comment passer 1 journée de rêve autour de Montréal si tu as une auto.

SPA si pire

Mon entourage montréalais a pris la mauvaise habitude de me mettre des idées très alléchantes dans la tête. Après le voyage à New-York, les petits roadtrips du week-end et les places-to-go en masse, j’ai encore découvert quelque chose d’autre.

Escapade à la Rivière Rouge

Sortir de Montréal, quand tu n’as pas de voiture, c’est un peu compliqué. Certes, il y a le bus, pour les longs trajets, ou lalocation de voiture, pour les plus dépensiers.

Les 5 choses que tu entends le plus à Montréal

Ça y est, cela fait 3 mois et 3 jours que je suis arrivée à Montréal. C’est donc les veines pleines de sirop d’érable et la tête remplie de sagesse québecoise que je peux désormais souligner certaines réflexions récurrentes que l’on me fait, avec un grand minimum d’une fois par semaine, voire systématiquement à chaque nouvelle rencontre.